bon j ai decider de mettre sa la

voila comme je vous l ai dis j ai une petite question mais c ets une simple question ok?
donc voila j aimerais savoir si vous pensez qu on peut s en sortir et plus penser a des abus sexuel de jeunesse?
merci

tu sais audrey je pense qu on peut s en sortir mais je pense pas qu on puisse
ne plus y penser sa reste dans la tete mais on le mets de coter c est tout

Cindy a raison, mais parfois c'est pas évident. Dans ce cas, en parler avec un psychologue peut beaucoup nous aider je pense... Je dis ça parce que la plupart des personnes qui subissent des abus se sentent coupable, alors que le vrai coupable est quand-même la pourriture qui a fait ça ! Désolée, je crois que je m'emballe...

chris tu ne t emballe pas tout le monde pense la meme chose que toi personne ne devrait profiter d autre personne sexuellement ou eutre d ailleur

merci de vos reponse mais je pense pas quese soit aussi simple

non c est sur audrey se n est pas simple du tout seul le temps peut y faire
mais sa ne changera jamais rien a se que cette personne a vecu elle y pensera
toujours a un moment donné

S'en sortir quand on a été abusé sexuellement, c'est possible, oublier, non. C'est une chose qui marque malheureusement à vie! Il faut arriver à vivre avec.
Une chose est sûre, par contre, c'est qu'il faut en parler, pour extérioriser, partager (c'est pas le mot exact) se souffrance, la faire connaitre aux autres plutôt.
Certaines victimes de viol, ou autres attouchements sexuels doivent en parler à un psy. D'autres en parlent tout simplement à des amis, à la famille.
Il est dur pour des personnes qui ont été violées d'en parler à la police car il faut expliquer en détail ce qu'il s'est passé, si l'auteur nie ce qu'il a fait, il est possible de devoir s'expliquer à nouveau, c'est un peu comme un second viol.
J'ai eu les deux filles d'une cousine à qui c'était arrivé dans le cercle familial (leur père : un élément rapporté à la famille) quand elles étaient petites. Elles en ont jamais parlé, sauf une, quand la petite copine de son frère attendait un enfant et qu'elle a appris que c'était une fille. Sa soeur, un peu plus jeune qu'elle, a fini par en parler aussi. Grace à ça, vu qu'il y avait prescription pour la première, cet en---é à qui on aurait donné le bon dieu sans confession a été jugé et mis au trou.
Depuis, la petite (quoi qu'elle a pas loin de la trentaine maintenant!) va mieux. Elle en a parlé donc le mal est parti, un peu.

Voilà tout ce que je pouvais te dire, en espérant que ça puisse t'aider.